"Retorno al verde " - Pinturas Inauguración: 11 de Julio a las 7.00 pm.
Exposición abierta al público hasta el 2 de Agosto de 2014
Galeríe du Pont Vieux - Saint-Affrique
Retorno - siempre - a la vida "RETOUR AU VERT" - RETORNO AL VERDE
¿Y si al inicio hubiera sido el Verbo y el Equino, es decir el relincho y el caballo? (LCV) Pedro cierra los ojos y el planeta –en la dimensión de los Hombres que aún Serán- está lleno de equinos y no de hombres. Atrás quedó la era del dinosaurio, del bípedo pensante, de las cibermáquinas. En la mente del Artista el mundo es una ...inmensa pradera poblado de nobles criaturas de imaginaria crin que tan pronto pueden pastar, besar el cielo poblado de nubes -seguirá siendo azul- y correr a todo galope en busca del mar. En los cuadros –que son ventanas del alma- veremos el pez de la vida que trepa al lomo de caballo blanco, aquel cuadrúpedo que es hechizado por el olor de los mangos y los campos de arroz. Este animal de ojos vivos, de pasos vivos, que tan pronto puede estar en su natal Cañoncillo en el Perú o pastar en Le Rougier con sus tierras rojas. Uno se pregunta si acaso vuelto el artista ha vuelto al Edén primigenio siguiendo las huellas del caballo blanco y ese sea el verdadero retour au vert. También se puede decir que es un retorno a los espacios de la añoranza, de la amistad, a su Ciudad, aquella que crece en su corazón. ¿Qué tanto pintamos nuestra alma en cada cuadro? El Alma de nuestro artista es un caballo sideral, inabarcable. En su crin está la clave espiral del universo, para decirnos que hoy volvemos como en lo eterno cíclico. El mensaje de que el Sol se levantó en nuestros corazones una mañana, las nubarrones negros la ocultaron durante meses y hasta casi hubo un nuevo diluvio, pero he aquí que la espiral nos devuelve nuevamente el Sol verde que tanto anhelábamos. Y allí seremos uno. Pedro fusiona su eterna alma equina para sobrevolar espacios que los bípedos no podemos imaginar. Si algo sorprende en las pinturas de Pedro es la luz, esa claridad que ha podido lograr en su maestría con el óleo: ¡Se puede palpar la vida! ¡Se la puede oler! ¡Podemos ingresar al cuadro y buscar nuestro rectángulo verde! Y hay sinfonía, y viento que nos despierta los sentidos adormecidos por lo cotidiano. Qué ese viento de la vida insufle el corazón de todos quienes contemplan esta hermosa colección que Pedro Méndez Encomenderos entrega hoy en Du Pont Vieux (Saint Affrique), pero que en verdad entrega -junto con su alma desbordada de óleos de vida- a cada espíritu que mira más allá del horizonte.
Luis Cabrera Vigo Poeta Desde Truxillo del Perú Casa VIGO Domingo, 6 julio 2014
Retour - toujours - à la vie « RETOUR AU VERT » - RETOUR AU VERT Et si au commencement il y avait eu le verbe et le cheval, c’est à dire dire le hennissement et le cheval ? (LCV) Pedro ferme ses yeux et la planète est pleine de chevaux, pas d’humains. Avant il y avait l’ère des dinosaures, du bipède pensant et des cyber machines. Dans l'esprit de l'artiste, le monde est une immense prairie peuplée de nobles créatures au crin imaginaire qui peuvent paître, embrasser un ciel rempli de nuages - toujours bleus - et galoper à la recherche de la mer. Sur les toiles - qui sont les fenêtres de l'âme – nous voyons le poisson de la vie qui monte sur le dos d'un cheval blanc, envoûté par l'odeur des mangues et des rizières. Cet animal aux yeux vifs, aux allures vives, qui bientôt pourra vivre dans son Cañoncillo natal au Pérou ou paître sur Le Rougier aux terres rouges. On peut se demander si l'artiste n’est pas revenu à l'Eden primitif sur les traces du cheval blanc. Ce qui serait le vrai retour au vert. On peut dire aussi que c'est un retour vers les espaces de la nostalgie, de l'amitié, dans la ville qui croît dans son cœur. Jusqu’à quel point peindre son âme dans chaque œuvre ? L'âme de notre artiste est un cheval sidéral, trop vaste. Dans sa crinière est la clé de la spirale de l'univers, pour nous dire que nous revenons aujourd'hui une fois de plus dans l'Éternel cyclique. Le message du soleil se levant dans nos cœurs un matin, des nuages noirs l’occultant durant des mois jusqu'à ce qu'il y ait presque un nouveau déluge. Mais voici que la spirale nous ramène encore une fois le soleil vert que nous désirons tellement. Et là, nous ne serons plus qu’un. Pedro fusionne son éternelle âme équine pour survoler les espaces que les bipèdes ne peuvent imaginer. Ce qui est surprenant dans les peintures de Pedro c’est la lumière, la clarté qu’il a obtenu grâce à sa maîtrise de la peinture à l’huile : on touche la vie ! On peut la sentir ! Nous pouvons entrer dans l'image et recherchez notre rectangle vert ! Et il y a une symphonie, un vent qui réveille nos sens endormis par la vie quotidienne. Que ce vent de vie injecte dans le cœur de tous ceux qui regardent cette belle exposition offerte aujourd'hui par Pedro Méndez Encomenderos, dans la Galerie Du Pont Vieux (Saint Affrique), mais qui en vérité s’offre - avec son âme débordante d'huile de vie - à chaque esprit qui regarde au-delà de l'horizon.
Luis Cabrera Vigo (Poète) De Trujillo Pérou Maison VIGO Dimanche 6 juillet 2014
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